L’Olympique Lyonnais est en crise depuis sa qualification en Ligue de Champions, multipliant les incidents et les mauvaises déclaration. Pour son grand chef Jean-Michel Aulas, qui a au passage déclaré qu’il regrettait de s’être séparé de Genesio (“je m’en mord les doigts de ne pas avoir gardé Genesio”), tout cela est de la faute de son coupable favori. Et il n’a pas manqué sur Eurosport de descendre le PSG version QSI:
« Aujourd’hui, ce n’est pas la faute du supporter ou des dirigeants mais de l’état français ou des organisations du football européen : on ne peut pas être devant le Qatar. (…) A un moment, on va revenir devant quand la régulation sera nécessaire. C’est pourquoi il faut être résistant, avoir une puissance économique. Nous participons à notre 23e campagne européenne consécutive, dois-je le rappeler ? C’est plus que n’importe quel autre club français. Nos jeunes supporters doivent prendre du recul, les réseaux sociaux tournent la tête des plus fragiles d’entre eux : aujourd’hui, celui qui gagne, c’est celui qui a la plus grosse puissance économique. »